#Le partenaire du mois : CASTLE IT

 

Maxime PAILLOT, pour la société CASTLE IT

Maxime, quels sont les 4 adjectifs qui te caractérisent ?

Dynamique, Surprenant, Juste et Loyal.

 

Peux-tu nous présenter Castle-It ?

Castle It est le plus grand Data centre de la région Centre Val de Loire. Nous travaillons sur tout le territoire national afin de fournir des services d’infrastructures informatiques de type hébergement, serveur dédié, machine virtuelle et stockage/sauvegarde.

Un Data centre, c’est un bâtiment sécurisé où un haut niveau de service est garanti (électricité, climatisation et accessibilité physique et fibre). Dans ce bâtiment, des serveurs y sont entreposés afin de vous fournir des services que vous utilisez peut être et sans doute, sans le savoir.

 

Tu fais partie d’une famille d’entrepreneur puisque tu es associé avec ton frère et que ton père a créé d’autres entreprises ?

Tout à fait, mon père à créé son entreprise il y a 32 ans et, avec ma mère, ils nous ont transmis à mon frère et moi un vrai esprit entrepreneurial. C’est cette éducation qui nous a donné envie de lancer Castle IT il y a 3 ans après 5 ans de réflexion. Avec Castle IT, notre « famille » s’est également agrandie avec Yoann et Mikael qui nous ont rejoint. Alors oui nous avons faisons partie d’une famille d’entrepreneur.

 

Quelles sont les valeurs de Castle it ?

Les Valeurs de Castle IT se déroulent autours de trois axes :

Une contribution au développement des territoires

    • Une construction réalisée avec des partenaires locaux
    • Une politique de RH priorisant les demandeurs d’emploi
    • Une implication locale sur le numérique

Un engagement citoyen

    • Energie consommée d’origine 100% renouvelable
    • Un choix d’équipement Eco-efficient
    • Un tri sélectif de l’ensemble des déchets

Un pacte social de nouvelle génération

    • Une entreprise où il fait bon vivre
    • Un accompagnement personnalisé de nos salariés
    • Un engagement pour la diversité

 

Tu es par ailleurs membre de la JCET, comment l’as-tu connue ? Qu’est-ce que la JCE t’a apporté ?

La JCET m’a été présentée par un ami de mon père qui m’a présenté Laurent ROQUIN. Suite à des échanges, j’ai rencontré Virginie TERMINET qui était Vice-Présidente en charge du développement et ensuite Marie MARCEUL. Ces deux rencontres, avec l’attention qu’elles ont pu avoir pour moi, en ont fait mes « maraines JCI » et elles m’ont permis d’intégrer la Jeune chambre Economique de Tours. La JCET m’a permis de suivre beaucoup de formations ainsi que des méthodes de travail différentes qui m’ont permis de m’épanouir dans mes activités tant professionnelles que personnelles.

 

Tu as choisi d’être partenaire dans le cadre d’un prix coup de pouce de la JCET, peux-tu nous expliquer ce qu’est le « Club coup de pouce » ?

Le Club coup de Pouce de la Jeune Chambre Economique de Tours rassemble, dans un cadre convivial, les acteurs économiques du territoire impliqués dans les actions de la JCET.

Le club Coup de Pouce est l’occasion pour ses partenaires de :

  • Communiquer sur les valeurs de leur entreprise,
  • Impliquer leurs collaborateurs dans des actions locales,
  • Intégrer un réseau d’acteurs économiques impactant sur le territoire.

Le Club Coup de Pouce est un espace d’échanges et de réflexions entre porteurs de projets de la JCET et partenaires privés ou institutionnels.

A l’occasion d’un Prix coup de pouce, les directeurs de commission « pitchent » leur projet devant le partenaire et ses collaborateurs, qui décident ensuite du projet qu’ils souhaitent soutenir financièrement.

 

Pourquoi avoir choisi d’être partenaire ?

Nous souhaitions être partenaire d’un « Prix coup de pouce » car nous souhaitions à travers ce partenariat soutenir une association locale avec des valeurs communes aux nôtres.

En tant qu’acteur local, nous nous devons de soutenir des acteurs locaux comme la JCET qui favorisent des actions d’ordre économique, social, et communautaire sur notre territoire. Car c’est à travers ces actions que notre société et nous pouvons évoluer.

 

Propos recueillis par Maxime THALAMAS, directeur de la commission